L’enfant intérieur

L’ENFANT INTÉRIEUR

« Nous avons tous été des enfants avant de devenir adultes, et cet enfant est toujours présent en nous…»

J’ai envie de vous partager des informations de façon transparente et le plus simple possible, au sujet des suivis en pédopsychiatrie, des diagnostics, des soins, etc. proposés aux enfants atteints de troubles de développement et comportement. (Les troubles observés qui concerneraient une maltraitance ne sont pas abordés dans cet article.)

Nous allons faire une petite parenthèse dans ce chapitre qui va faire écho à votre âme d’enfant et attirer votre attention si vous êtes parents.

Nous allons entrevoir une observation simplifiée sur l’enfant d’aujourd’hui par le biais de l’enfant d’hier.

Je suis en lien depuis plusieurs années avec les centres de psychiatrie pour enfant. Mon fils étant diagnostiqué pour un TDAH, j’ai eu ce besoin d’apprendre pour mieux comprendre. Je me suis formé en psychologie de l’enfant afin d’approfondir mes connaissances et ainsi de comprendre le langage médical d’aujourd’hui. Cela m’a permis de pouvoir mettre en place de nombreux atelier d’accompagnement avec l’association que j’ai fondé aux bénéfices des enfants (bohème Action) et d’aujourd’hui vous détailler ma pensée à ce sujet.

Mais surtout guider mon enfant vers son propre développement personnel, ce qui bien évidemment a eu un impact sur le mien. J’en témoigne auprès de vous, que vous soyez, parents ou non, car pour moi, la place de l’enfant dans nos vies représente un grand pouvoir sur les intentions et cheminements intérieurs.

Les troubles

Dans sa définition, le trouble, qu’il soit de comportement, de développement, cognitif, etc. est une action, réaction ou encore altération qui ne convient pas à ce qui est attendu. Cela peut être verbal ou moteur, et peut être d’origine neurologique, psychiatrique, ou une conséquence à un traumatisme nécessitant un traitement (médicamenteux)
Les troubles psychiques pour la plupart du temps ne sont que des perceptions différentes de ce qui est dit « normal » basé sur un cadre regroupant une généralité qui n’englobe pas tout le monde et fort heureusement ! Et également cette gestion des émotions très primaires chez les enfants que nous avons tous été, qui s’est manifestée à un moment donné.

À l’âge de la scolarité, tout enfant se doit de respecter une certaine évolution qui est attendue de lui. Passant de la propreté, au langage, à la motricité et au quotient intellectuel avec des échelles de compréhension.

Si un enfant se démarque de ce cycle d’évolution, il présentera ce qu’on appelle un trouble du développement ou comportement en fonction des difficultés rencontrées. Et bien évidemment, votre enfant se verra analysé pour comprendre son développement. Cette analyse de façon générale se fera par le biais de votre médecin, d’un centre de pédopsychiatrie, de séances quotidiennes avec des acteurs tels qu’une orthophoniste, infirmier,

psychiatre, psychomotricien, etc. En liaison avec l’école de votre enfant et de toutes aides dont il bénéficiera.

En 2022, le nombre d’enfants atteint de troubles en France est d’environ 1 enfant par classe scolaire ce qui correspond à une fourchette très large, entre

quatre cent mille et un million d’enfants, tout troubles confondus. (un chiffre officiel communiqué par le gouvernement de la santé) C’est un nombre considérable qui est aujourd’hui difficile d’être fixe puisque d’après les professionnels, les premières observations et diagnostiques sont très difficiles à faire étant donné le nombre croissant qui ne cesse d’augmenter chaque année.

Voilà pourquoi je souhaite développer avec vous le sujet de l’enfance d’aujourd’hui, car il ne faut pas oublier les enfants que nous avons été. Imaginez-vous, replonger dans les années 1970 ou 1980, dans ces époques qui n’étaient qu’aux prémices des analyses pédopsychologique chez les enfants.

Pensez vous réellement qu’à cette époque le nombre d’enfants atteint de trouble était si différent qu’à l’heure d’aujourd’hui ? Personnellement, je ne pense pas, et je pense que l’évolution des enfants d’aujourd’hui dépend d’un système bien trop classifier à mon goût.

Classement

Il faut savoir de façon précise que les troubles de comportement et développement sont classifiés. S’ils remplissent les cases d’une pathologie précise alors celle-ci, après un suivi et un diagnostic posé, sera identifiée.

Comme ça, tout paraît relativement simple, mais bien évidemment que dans de trop nombreuses situations les choses sont bien plus complexes.

Exemple : si votre enfant présente des troubles, mais qu’ils ne sont pas assez suffisants pour s’intégrer en une pathologie bien précise alors dans ce cas-là votre enfant évoluera en restant dans l’incertitude de savoir si oui ou non, il souffre d’une pathologie particulière qui peut possiblement se révéler bien plus tard (généralement à l’entrée de l’âge adulte).
En attendant, votre enfant se verra suivre des soins ainsi qu’une orientation scolaire qui pourra ou ne pourra pas lui convenir. Ça, c’est véritablement un problème quand, d’un point de vue médical, la stagnation ou l’évolution des troubles ne permettent pas une scolarité dite « normale ».

Diagnostic

Tout repose sur des diagnostics qui viennent mettre un «!nom!» sur l”explication de l”enfant qui se différencie et ainsi lui permettre de suivre un parcours de soin adapté. Parfois, ces diagnostics peuvent être posés très jeunes quand un enfant montre dès le plus jeune âge des comportements très distincts d”une pathologie (comme l”autisme) par exemple. D’autres formes de l’autisme (comme le syndrome d’asperger) sont malheureusement difficiles à déceler chez des enfants jeunes, car les troubles sont moins prononcés.

De nombreux témoignages d”adultes reviennent sur leurs parcours et ils démontrent bien à quel point un individu peut se différencier des autres. Rentrer dans des cases, dans des catégories, n’est pas toujours quelque chose de conforme pour tous.

Les nuances des troubles peuvent tromper les interprétations et renvoyer à de mauvaises évaluations.

Par exemple : un enfant qui présente des troubles, mais pas assez pour être classifié, se verra bien plus tard associé à une pathologie qui n’avait pas pu être révélée plus tôt.

Rappelez vous les années 1970 et 1980 que j’ai évoqué, et bien certain de ces enfants, ce sont vu diagnostiqué à l’âge adulte.

Les professionnelles constatent aujourd’hui que l’environnement et l’évolution propre à chacun peuvent moduler les troubles et les rendre difficiles à cerner.

Un exemple bien précis. Un enfant atteint de troubles autistiques dans sa définition a des troubles du comportement dans sa relation avec les autres.
La compréhension des codes physiques d”expressions ne se faisant pas correctement, l”enfant dit «!atteint de trouble autistique!» n”a donc pas ou voir très peu de rapports sociaux. Son comportement est donc plus isolé et reclus sur lui-même.

Or, il est démontré par des milliers de témoignages d”adultes autistes que ce rapport social se différencie d”un enfant à un autre. Certains enfants vont se renfermer sur eux même et d”autres vont au contraire être très présents socialement même si les codes de langage ne sont pas interprétés de la même façon.

Seulement, aujourd”hui, cette différence n”est pas prise en compte, ou très peu. Pourquoi!? Car malgré tout, l’ensemble des protocoles de soins vont se lier pour accompagner l’enfant qui se différencie des autres malgré qu’il ne soit pas forcément diagnostiqué immédiatement.

Je vous invite très sincèrement à lire la biographie de Paul El Kharrat, auteur du livre « Bienvenue dans mon monde »

Autre exemple : un enfant peut présenter des troubles relationnels à l’âge de la petite enfance, et ces troubles peuvent se voir disparaitre à l”adolescence. Pourquoi!?
L”enfant de part ses compétences et ses énergies va de lui-même calquer les codes d’expression observés chez les autres et les mettre en place dans sa vie de tous les jours laissant penser qu”aucun trouble de la relation ne se perçoit. Or initialement le trouble est toujours là. L’enfant reproduit ce qu’il voit, il le mime

à l’image d’une leçon apprise.

Les enfants pendant leur croissance font preuve d”une force extraordinaire. Leur alimentation, leurs habitudes, leurs environnements, que ce soit sur un enfant dit à évolution «!normale!» ou un enfant atteint de troubles du comportement ou de développement, son évolution extraordinaire telle qu”elle soit, a un impact psychique très important et propre à lui-même.

Dans un sens, un enfant qui présente des troubles autistiques (à tant de %), mais qui n”en a pas assez pour dire qu”il est atteint d’autisme réellement ne rentrera pas dans cette catégorie.

Alors l”enfant se verra non-statué et non diagnostiqué, mais la réflexion sur le fait que peut-être cet enfant est atteint d’autisme ne devrait pas être exclut, car son environnement ainsi que son évolution lui a peut être permis de se développer et donc dans un sens ne plus rentrer dans les cases attendues de cette pathologie, qui malgré cela est bien présente.

Ce qui exprimera le fait que des diagnostics posés à une certaine année de l”enfant puis à une autre année en cours de l’évolution, démontrerait des résultats différents.
À ce jour aucune médecine en psychiatrie enfantine ne peut dire le contraire, alors pourquoi continuer sur cette voie d’analyse et de diagnostique quand on sait que chaque enfants à une évolution totalement différente ?

Et bien tout simplement parce que depuis ces dix dernières années, tous les trois ans, environ une reclassification des diagnostics se fait, de par l’évolution du temps, les nombreux retours d”adultes qui ont fait des témoignages et donc remis en question, les soins et traitements qu”ils ont reçus pour des mauvaises interprétations de suivi. Également les informations qui sont communiquées régulièrement sur les médias, et surtout le nombre de prises en charge qui a considérablement augmenté. Les centres de pédopsychologie doivent faire face à de trop nombreux enfants qui ne rentrent pas forcément tous dans les classifications.

Alors une réévaluation des tableaux comportementaux est revue très régulièrement. Mais est-ce une bonne chose!? Pouvons-nous faire confiance aujourd”hui à ces tableaux de classification!? Alors qu”il y a quelques années, de trop nombreuses erreurs sont passées à la trappe. Et peut-on même parler d’erreur ?

Simplifions

Un enfant qui ne présente pas d”empathie ne veut pas dire qu”il ne pourra pas l’être. Je m”explique, si l”enfant effectivement dans son évolution ne présente aucune empathie pour son prochain alors c”est un trouble. Mais l”enfant peut apprendre à devenir emphatique et donc il ne présentera plus ce trouble qui pourtant est bien toujours là.

Les enfants dans leur évolution sont le calque de ceux, ou celui qui sont devant eux. Tout enfant en bonne santé mentale va reproduire ce que fait l”autre. Ils sont des éponges aux effets miroir.

Même pour les enfants atteints des plus lourds handicaps, le fonctionnement reste le même. Donc il est très facile d”apprendre à un enfant à devenir emphatique même si celui-ci n”en a pas l”initiative, je dirai «! naturellement!». Cet exemple est valable pour plusieurs autres troubles émotionnels.

Nous sommes l”exemple de nos enfants. C”est pour cela qu”il est très important d’être soi-même en phase avec la meilleure image que l”on veut leur transmettre.

L”important quand un enfant est dit « atteint de troubles », c”est savoir l’écouter et surtout ne pas chercher à ce qu”il rentre dans une case, dans une catégorie qui peut le suivre toute sa vie puisque ce choix vous induira dans la façon dont vous parents allés l”aider à grandir. Et ce chapitre est bien évidemment dédié aux enfants qui à ce jour se démarquent des diagnostics de pathologies précises, mais qui présentent des troubles qui les différencient d”une évolution dite «!normale!» attendue d’eux.

Chaque enfant est différent, et même s”il est attendu de lui un certain comportement dans le cycle de l’évolution, des enfants peuvent se différencier sans forcément attendre d’eux, qu”ils rentrent dans une pathologie. Bien sûr qu”il y a des explications à ce type d’évolution, mais l”important n”est pas de toujours

chercher la source qui ne changera pas forcément la manière de faire sur vos actions. L”important est de savoir écouter votre enfant pour l”aider au mieux dans ses apprentissages. Et ce n”est qu”en passant par là que vous comprendrez peut-être un jour quelle en a été la cause, si celle-ci peut s”expliquer, car souvent, il n’y a pas toujours de cause à effet.

Autre exemple, votre enfant ne sait pas lire alors qu”il a une dizaine d”années!? Ce n”est pas grave et ce n”est pas pour autant qu”il présente des troubles actifs d”une pathologie existante. L’évolution ne peut pas toujours être de la même façon et ce n”est pas autant que vous, parents, vous avez été négligents.
Si vous attendez des clés pour aider votre enfant, elles ne vous seront pas communiquées par les services de pédopsychiatrie qui prennent en charge votre enfant. Je ne dis pas qu”ils ne vous donneront pas des conseils, mais ils sont eux même dans le flou et dans l”incertitude de comprendre comment votre enfant peut évoluer surtout quand aucun diagnostic n’est statué. Ils l”aident par leur suivi bien sûr, mais ne pourront pas vous indiquer la marche à suivre si c”est ce que vous attendez. C”est à vous, parents, de trouver ce qui correspond le mieux pour votre enfant et pour cela, je vais vous communiquer quelques astuces qui ont des retours favorables sur les aides d”apprentissages par des techniques alternatives.

Montessori, vous en avez certainement entendu parler, est une éducation dite manuelle qui fonctionne par les sens sur les apprentissages des enfants qui présentent des retards scolaires sur un circuit classique. Les classes en Montessori sont très rares et très chères, mais sans passer forcément par une école, vous pouvez de vous-même aider votre enfant sur ces apprentissages scolaires avec l”appui des techniques Montessori sur le travail à la maison.

Je vous recommande le livre « Montessori à la maison, je passe à l’acte. » de Nathalie Petit, journaliste spécialisée dans la parentalité bienveillante.

L”art-thérapie va venir aider votre enfant à exprimer ses émotions. C”est une forme d’échappatoire qui va absorber les énergies négatives ressenties et les capturer dans une création qui viendra immortaliser ces sentiments. L”art dit comme ça, n”est pas toujours quelque chose de beau, il en devient beau par la force qu”il représente, mais en soi dans l”action de créer, souvent les artistes se laissent transcender par le rejet

des émotions négatives qui les envahissent. C”est réellement une thérapie qui devrait être incluse dans les apprentissages pour tous les enfants de façon générale, à mon sens. Et surtout pour les enfants qui ont du mal à communiquer avec leurs sens et émotions.

L”Alimentation. Donnez une bonne alimentation à votre enfant et clairement un appui physiologique et psychologique qui vont vraiment l”aider dans son développement. Nous sommes ce que nous mangeons. Il a été prouvé que l”alimentation sur certaines pathologies aide l”enfant à une stabilité émotionnelle et psychique. Il est donc primordial de donner à votre enfant une nutrition qui va équilibrer le fonctionnement de son corps. Et il en va de même pour son hygiène de vie dans son environnement.

La patience. Ne soyez pas trop dur avec vous-même ou avec votre enfant. Il a le droit d’évoluer à son rythme et peu importe s”il ne rentre pas dans les cases qui sont attendues de lui. Je sais à quel point l”image que la société attend d”un enfant est précise, mais, se différencier ne veut pas forcément dire que votre enfant est malade ou que vous avez manqué quelque chose à son développement. Comme je le disais plus haut, bien sûr qu”il a ou aura une explication, si tel est le cas, mais en soit ne vous torturez pas à chercher à comprendre, car dans le présent, l”important, c”est d’élargir les possibilités d”aides pour votre enfant et donc l”image que vous avez de vous est très importante. Soyez patient et essayez plusieurs techniques. Des actions simples, mais appuyées d”une communication sans trop d”attente. Un langage positif, qui félicite votre enfant sur ses projets et qui n”en attend pas plus.

Les troubles chez l”enfant ne doivent pas être un poids sur votre quotidien, mais plutôt une façon autre de voir l”avenir. La vision de votre enfant est un cadeau du ciel et ces différences ne doivent pas être perçues comme un problème.

Essayez de ressentir en observant votre enfant s’il a des facilités d’expression plus manuelle ou auditive. Certains enfants par le biais du son transmettent leurs émotions, à contrario d’autre ne supportant pas les bruits trop fort vont plus facilement s’exprimer avec des gestes.

L’enfant que vous étiez

Appelez votre enfant intérieur en pratiquant la méditation, et demandez-lui de vous rappeler qui vous étiez étant enfant. Reconnectez-vous à vos émotions et à vos joies, cela vous aidera dans votre relation avec votre enfant.

Mais surtout cela vous aidera à comprendre qu’il est possible que nous soyons tous concernés par cette différence dans nos comportements respectifs. J’exclus bien évidemment les pathologies dans cette conclusion, uniquement tous les troubles naissant depuis ces dernières années qui viennent classifier les enfants de façon à marquer leurs différences quand leur comportement ne rentre pas dans ce qui est attendu d’eux à leur âge. À l’époque, il n’y avait pas tout cela et quand on regarde les adultes d’aujourd’hui, nos parents, grands parents, etc. Pensez-vous qu’ils auraient été diagnostiqués DYS, TDAH, ou encore Asperger ? Personnellement je pense pour la plupart que oui, sinon comment expliquer l’évolution considérable des dernières années sur la classification des troubles chez les enfants.

Terminons avec un peu de spiritualité.
La spiritualité, les croyances magiques, etc. Ont toujours fait partie de l’humanité. Au-delà du temps, elles ont toujours existé et été exploitées dans diverses civilisations de l’histoire, mais avec le temps elles se sont enfouies dans notre esprit en laissant place à un monde spirituellement moins présent, un monde moderne, beaucoup plus technique, mécanique et remplie de solution pour tout un chacun. Le monde est devenu comme une réponse à de nombreuses problématiques qui sont à disposition, et cela a fait perdre, à mon sens, la crédibilité des pratiques dites maintenant anciennes et historiques, sur lesquelles nos ancêtres se sont construit.
Les enfants, si l’on remonte dans l’histoire (il y a 4 000 ans par exemple.) étaient remarqués pour leurs capacités à voir le monde autrement dès leur plus jeune âge. Souvent, cela s’apparentait à un don, à un potentiel, que bien évidemment les communautés essayées d’accroître pour un bénéfice commun.

En restant dans le monde moderne d’aujourd’hui, j’aime à croire et penser que ces différences,

analysées chez les enfants, ne sont peut-être que le résultat d’une continuité d’évolution dans l’histoire qui a toujours était marqué par la différence de perception. Les enfants d’aujourd’hui, ou les adultes distraient que nous avons étaient, ne résultent que peut-être d’une perception différente.
Imaginez si au lieu de la limiter à une classification, aujourd’hui cette lumière mise via ces diagnostiques, analyses, etc était une porte que l’on pouvait ouvrir pour exploiter un potentiel autre ?

Prenez véritablement le temps de réfléchir à cette question. Que vous vous sentiez concerné ou non, que vous soyez parents ou non, peu importe. Prenez le temps de vous connecter à l’enfant qui est en vous, aux enfants de l’histoire, etc. Afin de mieux comprendre l’approche des enfants d’aujourd’hui qui sont, j’aime à le dire, la racine de notre avenir.